Encore une autre ?!...Est-il possible que nous ayons vraiment à nous poser cette question !? Le 16 avril dernier, Seung-Hui Cho, un étudiant de 23 ans, a tiré sur de nombreuses personnes et fait 32 victimes avant de, lui-même, s’enlever la vie. Je ne m’étendrai pas trop sur le sujet de la tuerie car tout le monde a une bonne idée de ce qui c’est passé. Je tiens par contre à souligner que ce jeune homme sud-coréen qui a commis tous ces meurtres était un garçon sombre ne parlant pas beaucoup et écrivant des pièces de théâtres morbides. Il avait, par le passé, harcelé deux jeunes filles. Pourquoi personnes n’a réagi à temps !? C’est bien beau d’en parler suite à la tragédie en expliquant qu’il ne soit pas surprenant que Cho ait réagi de la sorte, mais pourquoi tous ces gens qui disaient la chose prévisible n’ont pas réagi avant !? On vante souvent les bienfaits du système en ce qui a trait à aider les jeunes en difficulté. Comment ce fait-il que les plus dangereux et les plus prévisibles (puisque c’est ce qu’on a dit du tireur) soit encore seuls dans leur coin attendant peut-être que quelqu’un les remarque. Lorsque cette personne qui devrait lui porter attention ne vient pas il réagisse en fonction de se faire remarquer et cette manière est souvent très violente. Je n’excuse aucunement son acte qui est certes impardonable, mais je voudrais simplement souligner le point que les gens devraient porter plus d’attention à ce genre d’individu et même consulter les ressources dont ils disposent afin d’éviter le drame. Cette tuerie n’était pas la première et ne sera sûrment pas la dernière. La société dans laquelle nous vivons, sans le savoir, encourage ce genre de choses en rejetant les gens qui sont quelque peu différents des autres. Elle ne remarque pas que ce sont ces mêmes personnes qui réagissent à ce rejet par la suite…

Dernièrement, en classe, nous avons écouté un reportage intitulé Daytona Beach. Cette place reconnue comme étant un endroit de débauche et de "party" était plus ou moins bien expliquée. La qualité de l’image était nulle et on aurait dit que le caméraman était un apprenti ou un soulon. Le son était mauvais et l’usage de sous-titres était souvent nécessaire. Les principaux sujets interrogés dégradaient, selon moi, l’image des Québécois. Des jurons étaient employés à profusion et ses jeunes hommes (entre 18 et 24 ans environ) ne semblaient pas avoir d’excellentes valeurs parlant majoritairement de sexe, d’alcool et ne semblant jamais contents de rien. Il est pourtant clair que des jeunes ayant une tête sur les épaules pourraient avoir envie de s’éclater un peu dans un endroit du genre. Certes, vous direz que c’est un reportage et que le but était de démontrer ce qui se passait réellement et non d’embellir une situation qui ne le méritait pas. Je crois toutefois que les sujets interrogés n’étaient qu’une minorité visible et que le producteur s’est concentré sur cette petite « gang » sans tenter de voir ailleurs. De plus, les gens interrogés dans le reportage étaient majoritairement des garçons. Une seule fille était interrogée sur ses impressions de l’endroit ce qui fait que l’échantillon de personnes exploitées dans le vidéo étaient quelque peu injuste. Les filles semblaient être présente pour entretenir les gars alors que certaines d’entre elles partent en vacances à Daytona dans le même but que ces jeunes hommes. Ce but était malgré tout bien décrit. On comprenait bien que ces jeunes allaient en « springbreak » à Daytona afin de profiter de ce qu’ils croient être « les plaisirs de la vie », c'est-à-dire l’alcool et le sexe. Toutefois, comme mentionné plus haut, le spectateur croit que ces jeunes ne pense qu’à ÇA. Espérons seulement que ce n’est pas vrai…

Et oui, c’est le temps de la campagne électorale. Toutefois, celle-ci me concerne sans me concerner en même temps. En effet, à 17 ans, on comprend pourquoi il y a cette campagne, mais on a rien à décider puisque l’on ne peut même pas voter.

J’ai toutefois une petite opinion sur le sujet. J’ai l’impression que durant la campagne les politiciens se prennent pour des super héros qui peuvent tout accomplir et promettent la lune aux électeurs. Par contre, lorsqu’ils sont élus ils retombent sur terre et se rendent compte que bien des choses sont faciles à dire, mais pas à faire. Alors, tout le monde les prend pour de beaux menteurs, ce qui, toujours selon moi, n’est pas totalement faux.

D’ailleurs, en parlant de promesses, des promesses c’est beau quand ça rend les gens heureux, mais des promesses, comme par exemple, celles de Mario Dumont, en ce qui concerne le dégèle des fonds universitaires, ce ne sont pas des promesses auxquelles les gens veulent avoir accès (toujours selon moi).

Bref, la campagne électorale c’est gros, peut-être trop gros, on entend parler que de ça pendant des semaines et de semaines jusqu’à ce que finalement, en une journée, celui qui prendra la tête du gouvernement québécois pendant quatre ans, soit élu. Toute cette propagande en vaut-elle vraiment la peine ? La majorité des gens ont déjà leur idée faite de toute façon…

Le long métrage The prestige, mettant en vedette Hugh Jackman et Christian Bale, raconte l’histoire de deux apprentis magiciens se livrant une petite compétition amicale qui, suite au décès de la femme de l’un d’eux, deviendra une lutte de haine et de jalousie. Ils tenteront de se détruire avec la puissance et les secrets de leur magie. Toutefois, en se faisant, ils feront du mal aux gens qui les entourent. Ce film est nominé aux Oscars notamment pour la direction artistique et pour la cinématographie.

Ce film mérite bien sa place auprès des films à succès. La prestation de plusieurs acteurs connus (à ceux mentionnés plus haut s’ajoute Scarlett Johansson) est remarquable. Dans un environnement du 19^e siècle, auquel on croit vraiment, les personnages se marient à merveille. Durant toute la longueur du film, on reste à l’affût afin d’arriver à découvrir le « punch » de la fin qui nous surprend en grand malgré les nombreux indices donnés tout au long du film et auxquels on ne repense que par après. 

L’histoire commence avec une scène du présent qui ne dure que le temps aux cinéphiles de se poser un tas de questions. On se retrouve ensuite des années auparavant pour enfin revenir à cette scène et à ce qui passe suite à cette dite scène. Il est impossible de raconter cette histoire sans dévoiler les quelques indices qui méritent grandement d’être découverts durant le visionnement du film.

Bref, des comédiens talentueux qui entrent bien dans leurs rôles, une mise en scène digne de mention qui équivaut totalement aux nominations des Oscars, une morale néanmoins absente dû au genre de film qui n’en a pas vraiment besoin. Un film à voir pour tous ceux qui aiment les histoires de manipulation, de magie, de suspense avec une petite touche de tendresse. 

Êtes-vous un sale raciste ? La réponse logique à cette question est non. Bien que le sondage sur le raciste effectué auprès de la population québécoise ne présentait pas cette question aussi directement, il en présentait plusieurs qui, avec un sens logique minimal, pouvaient être perçues comme tel. Quelqu’un de sensé, ayant entendu parler du raciste toute sa vie comme étant une mauvaise chose, n’ira pas répondre à ses questions d’une façon négative, même si ce n’est qu’elle qui est devant son ordinateur. Cette personne pourrait être raciste dans ces valeurs sans même l’admettre, ni même le savoir. Elle ne s’affirmera pas à elle-même qu’elle croit à une race supérieure. C’est du moins ce que je croyais avant de voir que 59% de la population québécoise se disait ouvertement raciste selon un sondage du Journal de Montréal. Toutefois, en continuant mes recherches, je me suis rendue compte que selon un sondage Léger Marketing, à la question : « Vous personnellement, à quel point vous considérez-vous raciste ? Diriez-vous que vous êtes… », seulement 1% de la population affirmait être fortement raciste. Qui croire ?

Il  faudrait peut-être créer un fossé entre la définition du raciste et ce que les gens croient que le racisme est. Selon Le Petit Larousse 2005, le racisme c’est l’idéologie fondée sur la croyance qu’il existe une hiérarchie entre les groupes humains, les « races ».  C’est aussi le comportement des gens face à cette idéologie. Hors, les Québécois croient peut-être que le racisme c’est de se sentir inconfortable lorsqu’on croise quelqu’un de nationalité arabe dans la rue ou de ressentir un malaise lorsqu’une femme voilée entre dans une épicerie. Toutefois, selon la définition, le racisme c’est beaucoup plus. C’est carrément admettre qu’une « race » est supérieure à une autre. Hitler était raciste. Une personne qui ne fait que ressentir un malaise tel que décrit plus haut l’est telle ? Là est peut-être la vraie question.

Pour conclure, il serait important de mentionner que le sondage ne fait que parler du racisme des Québécois. Pourquoi les Québécois seraient-ils plus racistes que les Canadiens ? Ou qu’une autre nationalité de la planète ? Peut-être que la question qui aurait dû être poser serait : Est-ce que la société du 21^ème siècle est raciste ?

M. Deschênes ayant écrit un article sexiste et dénigrant pour la femme en généralisant comme ce n'est pas possible, je me permet ici de lui répondre. Je ne m'abaisserai toutefois pas à dénigrer l'homme ce serait trop facile ( en fait peut-être juste un peu, question de vengeance).

Non mais monsieur, à quoi vous pensiez, une centaine de préjugés "garochés" comme ça sur un coup de tête après une émission où TOUT est exagéré parce que c'est AMÉRICAIN. J'croyais que vous ne vous attardiez pas à regarder de la télé-réalité. Sans vouloir "pêter votre bulle" je tiens à vous faire remarquer que ces émissions de justice américaine sont de la télé-réalité! Elles sont créées pour provoquer des réactions semblables à la vôtre chez les téléspectateurs. Alors non seulement vous regardez de la télé-réalité, mais en PLUS vous embarquez dans le jeu! Non mais ! En plus ça se dit contre la télé-réalité!

Et maintenant, question de vengeance (mais sans être aussi vulgaire que vous l'avez été) je tiens à vous précisez que si les femmes "chialent" sur leurs hommes quand elles vont magasiner avec eux, c'est parce qu'elles n'avaient pas le choix d'y aller avec eux si elles ne voulaient pas qu'ils reviennent avec des pantalons jaunes et un chandail brun marde! Elles aussi, autant que les hommes doivent vouloir arracher la tête de leurs conjoints une fois de temps en temps.

De plus, veuillez noter que les femmes n'empêchent ou ne manipulent pas les hommes pour qu'il fasse quoi que ce soit, ce sont les hommes qui se retiennent de peur de tacher leur réputation. Jamais un homme ne veut piler sur son orgueil et demander un chemin ou un information: Non mais quest-ce que les gens penseraient ?!

Bref, vous pouvez toujours "chialer", mais pensez-y deux secondes... si les femmes disparaîssaient d'un seul coup de la planète...pas sûre que vous seriez le premier à crier de joie ! Non?

La fidélité étant un sujet presque tabou pour certains couples reste un sujet dont certains autres discutent ouvertement. La fidélité c’est possible et souhaitable, oui, mais lorsque les deux personnes du couple le souhaite. Parfois, deux personnes dans une relation ne voient pas d’inconvénients à ce que l’autre aille courailler ailleurs. Par contre, lorsqu’une personne tient vraiment à l’exclusivité (et on doit l’admettre, c’est souvent la femme) on se retrouve face à un problème. Il est souhaitable, pour former un couple solide, que les deux partenaires aient la même opinion sur le sujet. Sinon, on en arrive toujours à des crises de jalousies inutiles, des insultes barbares lancées dans le vide et à des crises de larmes superflues quand, à fait, la relation devrait se terminer là si elle ne convient pas à un des deux. Toutefois, il me semble, que le nom de « couple » implique la fidélité. Si une personne désire plus de liberté, elle ne devrait pas s’impliquer dans une relation sérieuse et justement attendre, peut-être, de « maturer » avant de s'impliquer dans une de ces relations. Il est vrai par contre, que même des gens plus âgés, mariés, avec des enfants, peuvent être infidèles. C’est alors à la discrétion de ces gens d’être des trous-de-cul ou non, de donner l’image d’un parent absent et « courailleur » à ses enfants ou de leur prouver que la fidélité et l’amour existe réellement. Bref, tout dépend de la personnalité et du niveau de tolérance de chaque personne. Certaines personnes savent très bien que leurs conjoints/conjointes son infidèles et font comme s’ils ne voyaient rien puisqu’ils s’imaginent qu’ils ne pourront plus retrouver une stabilité s’il laisse la personne en question. C’est alors à eux de mettre leurs culottes et de penser à ce qui est vraiment le mieux pour eux.

Geneviève et moi ferons prochainement un article sur le cheminement de Guillaume Latendresse. Nous parlerons brièvement de sa jeunesse et ensuite de son parcours pour se rendre où il se trouve actuellement, dans la ligue nationale de hockey avec les Canadiens de Montréal. Nous prendrons nos informations sur le site des Canadiens de Montréal, sur le site de cyberpresse ou encore, par une traditionnelle recherche Google.

Vendredi le 9 novembre, en après-midi, les élèves de 5^ème secondaire et les professeurs du Collège Regina Assumpta eurent droit à la présentation d’un montage des grands évènements du 20^ème siècle dans la salle Jeanne-Sauvé. Cette activité avait pour but de souligner le jour du souvenir tout en lançant le programme histoire et culture de cette dernière année du secondaire.

Plusieurs élèves ont apprécié le montage, d’autres l’ont trouvé plutôt ennuyant. Certains en ont même profité pour rattraper les quelques heures de sommeil suite au projet de français, le T.R.I. Tous on, par contre, apprécié de ne pas avoir de cours régulier en ce jeudi après-midi, veille d’une longue fin de semaine.

Gael Garcia Bernal et Rodrigo de la Serna font une apparation dans le film Carnet de voyage dans les rôles respectifs de Ernesto Guevara et Alberto Granado, deux jeunes étudiants en médecine qui décident de partir découvrir l'Amérique du Sud en motocyclette. Ils souhaitent approfondir leurs connaissances médicales et découvrir de nouveaux horizons. Le fil se passe en 1952 et présente la vie de jeune homme du célèbre Che Guevara.

Bien que visionné en espagnol, Carnet de voyage reste un film ayant un bon rythme qui sait bien passer le message. Peut-être y voit-on Ernesto Guevara étant un peu trop honnête et soucieux de tous ce qui l’entoure, vu le destin de cet homme qui était prédestiné a participé à de grande révolution. Toutefois, la moral qui ressort du film est excellente et nous permet de voir que nous devrions nous compter chanceux d’avoir la santé et tous nos autres petits besoins plus ou moins superficiels.